• AVEC LA THUNE DE KHADAFI ET LES VOIX DE LE PEN !!!!AVEC LA THUNE DE KHADAFI ET LES VOIX DE LE PEN !!!!sarkozy et la thune de Khadafi

     DAMNED! UN CONTRAT DE 50 MILLIONS D'EUROS !!!

      


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  • LA TERREURL'EXECUTION DE ROBESPIERRE ET DE ST JUST

    LA TERREUR 

      

      

      

      

      

      

      

    FOUQUIER TINVILLE l'ACCUSATEUR PUBLICLA TERREUR 

    Marat saigné tout vif dans sa baignoire

     LA TERREUR

    En Place de la Révolution

    fût l’échafaud de la Convention.

    La grande mesure d’exception

    fût instrument de répression.

     

    Ils inventèrent la TERREUR,

    tours à tours, battus ou vainqueurs,

    soit Montagnards, soit Girondins,

    tous un petit peu assassins.

     

    Marat, saigné tout vif, dans sa baignoire,

    le couperet, du matin jusqu’au soir,

    sec, allait ensanglanter l’Histoire,

    légalement et avec devoir.

     

    On fit Justice par la peur,

    l’ordre du jour était TERREUR.

    Et l’on décolla la tête,

    d’une Marie-Antoinette.

     

    Sans interrogatoire et sans droit,

    intrigant suit le chemin de la Loi.

    Fouquier-Tinville devenu Roi,

    regarde ce que te montre son doigt.

     

    La Guillotine – la frayeur,

    d’un pays vivant sous la TERREUR.

    Quand tombent trop de bustes

    séparés des têtes illustres.

     

    Et le grand Robespierre s’est repu,

    de son culte de paix et de vertu.

    Du sang du Tiers-Etat prévenu,

    que son heure à lui était venue.

     

    Petite ou grande TERREUR,

    le crime avec la rigueur,

    s’était uni sur l’échafaud,

    de Dunkerque jusqu’à Bordeaux.

     

    Glorieux révolutionnaires,

    princes de la République, fiers,

    Collot d’Herbois, Fouché et Barère,

    Cambacérès, Carrier, tous frères.

     

    Inspirateurs de la TERREUR,

    un couperet au fond du cœur,

    vous reviennent tant d’honneurs.

    Régicides et libérateurs,

    futurs princes de l’Empire,

    que l’on a oublié d’honnir.

     

                                                 Clichy, JLB le 29 Août 1988

     

     

    D’après « l’Histoire » spécial n°113

     


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  • MAIS VOUS ETES OU ?

     

    MAIS OU ETES-VOUS A MIDI ?

    ON AURAIT DEJA DU EXPLOSER LE SARKOZY !

    Putain vous êtes sur Mars avec CHEMINADE !

    J’y crois pas, ce n’est pas aujourd’hui la rigolade.

     

    Putain, votez Laguiller ou la navigatrice,

    dans l’isoloir, paraît qu’il y a le pastis.

    Putain, votez Philippe Ier, votez Poutou !

    Parce que s’il est élu, il n’y a plus de président du tout.

    Putain, Votez Jean-Luc, c’est mon homonyme.

    Putain, trouvez un truc, fuck le sarkozysme.

     

    Mais, vous êtes où ?

    Combien de nains à rolex pour un seul tribun ?

    Moi, je propose le trois en un.

    Arthaudmélenpoutou.

    Et un grand meeting à la Concorde.

    Ou l’on ressortira les couperets et les cordes.

    Mais non, je déconne,

    on y écartèlera juste la Le Pen par les cornes.

     

    Putain, Votez, les maires vous refileront un billet.

    Putain, y-a pas de vacances, quand il faut se décider.

    Qu’on ouvre les péages, que le train soit gratuit,

    arrachez des vélib’, squattez une autolib’,

    Putain, c’est les dernières heures où vous pouvez être libres.

    MAIS VOUS ETES OU A MIDI ?

     

    Merde, vous faites un barbok, avec Dupont-Aignan,

     nous on aime les souverainistes mais bien saignants.

    Ou allez-vous planter des choux avec Bayrou,

    des choux de « Bruxelles » pour piquer vos sous.

    A moins qu’avec Emilie Joly vous cueillissiez des pissenlits,

    pour bombarder la centrale de Penly.

    Mais non, vous êtes au boulanger avec Villepin,

    à la chasse avec Nihous, ou au calva avec Morin.

    Et de De Gaulle, vous cherchez le bulletin,

    en hurlant, putain Pétain, c’est qu’en que tu reviens ?

     

    Moi, je vote Nathalie POUTOUCHON

    Pour que Sarkozy, fasse son balluchon,

    et puis en option, on fera peut-être la Révolution,

    si le socialisme retrouve sa vocation.

    Si le Peuple François entre cacahouètes et pastaga,

    retrouve ses burnes au fond des urnes,

    lorsqu’on l’appelait le Tiers-Etat et qu’il décolletait les rois.

    Mais non, je déconne, c’est juste Le PEN qu’on va droper sur la lune.

     

    JLB 22 AVRIL 2012 16HOO (14H00 GMT)

     

     


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  • LA RAISON OU L'ETRE SUPREMELA RAISON OU L’ETRE SUPREME

     

    A nouvelle époque, de nouveaux cultes,

    car la Révolution, cela s’inculque.

    Merci à Monsieur Héraut des Seychelles,

    dit le sans-culotte, en regardant le soleil.

    On nationalise la Religion,

    intronisant la pure déesse Raison.

    Nos hommages à la neuve divinité,

    qu’éclaire le beau flambeau de la Liberté.

     

    N’AVAIENT-ILS PAS TOUS PERDU LA RAISON,

    A VOULOIR TANT L’ERADICATION ?

    Depuis que l’Homme est : Depuis sa genèse,

    il n’avait ébranlé cette parenthèse,

    de la croyance en une divinité.

    La Croix, un Christ, des Saints, cela lui suffisait.

    ILS ONT CHERCHE ET TROUVE LA RAISON,

    LES CURES LES ONT TROP PRIS POUR DES CONS !

     

    Mais tout cela, les tracassait trop quand même,

    d’effacer leur Univers d’un coup de peigne.

    Lors, le grand Robespierre, certes bon père,

    vit tout ce dévot Peuple dans la misère.

    Qu’il lui fallait que trop, du Culte, des Totems,

    leur pondit un œuf nommé « Etre Suprême ».

    Un Dieu patriotique et civique,

    gueulant à tout va « Vive la République ».

     

    L’ETRE SUPREME FUT BIEN PITEUX,

    CRURENT-ILS EN CE SEMBLANT DE DIEU ?

    Notre Dame tapissée en rouge et noir,

    on criât au scandale, on criât gare !

    A prêter des serments, à chanter des hymnes,

    on préféra le chant de la guillotine.

    CRURENT-ILS EN CE NOUVEAU DIEU ?

    LES FLOTS DE SANG ETAIENT-CE MIEUX ?

     

    Cormeilles, JLB 5et6 /11/1988

     

     

     


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  •  

    EXECUTION DE LOUIS XVI 21 JANVIER 1793

    COUPABLE ? 

        

    Le dix Août Mil sept cent quatre vingt douze,

    la monarchie au Peuple sert de pelouse.

    Dix siècles s’effacent en une journée,

    et Louis XV, roi de France est accusé…

     

    COUPABLE ?

    On le dit, on le pense.

    COUPABLE ?

    D’être le roi de France !

     

    Quand la Révolution a changé de mains,

    de celles du Peuple à celles de politiciens,

    on a réuni des assemblées de toutes sortes.

    Mais Peuple de France, tu es resté à la porte.

     

    COUPABLE ?

    Louis le seizième.

    COUPABLE ?

    Le destin enchaîne.

     

    Des ruisseaux de sang coulent dans les rues,

    la ville n’est plus qu’un charnier qui pue.

    Le Peuple agonise, il a faim.

    Mais que font Montagnards et Jacobins ?

    Dans la Convention Nationale,

    ils jugent, ils votent, et font du légal.

    Alignant les têtes ennemies,

    au bout des piques du grand Paris !

    Ci-devant Robespierre, Ci-devant Danton,

    on a volé au Peuple sa Révolution !

     

    COUPABLE ?

    D’être le dernier roi.

    COUPABLE ?

    Inutile à la Loi.

     

    Et c’est l’heure de biens sombres massacres,

    la reine Guillotine, chaque jour, sacre,

    des têtes inconnues, des têtes confondues,

    en attendant celle d’un Louis Capet déchu.

    La bourgeoisie chasse la noblesse,

    le lucre remplace la richesse,

    se servant du Peuple pour escabeau,

    avant de l’envoyer à l’échafaud.

     

    COUPABLE ?

    D’être ce que l’on est.

    COUPABLE ?

    D’être et d’avoir été.

     

    Louis Capet, l’Assemblée vous accuse,

    d’autant que la France, ne vous récuse.

    La République Universelle a bâclé sa comédie.

    A quoi donc la Révolution a-t-elle abouti ?

    Pour un roi, cinq cent tyrans,

    un pouvoir s’embourgeoisant.

    La guillotine en place de grève

    attend cette royauté qui s’achève.

    Une tête de roi, un morceau de choix,

    cela au nom des nouvelles lois.

     

    Louis le seizième !

    COUPABLE ?

    Cible de la haine.

    COUPABLE ?

    Bourreau fait ton office.

    COUPABLE ?

    Bourreau soit bon complice !

                                              Clichy, JLB le 13 juillet 1988

     

    D’après « Histoire magazine n°37 » Louis XVI était-il coupable ? de P et P Girault de Coursac.

     


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  • ABOLITION DES PRIVILEGES NUIT DU 4 AOUT 1789ABOLITION DES PRIVILEGES

    DECLARATION DE DROITS DE L'HOMME 1789

    DECLARATION DES DROITS DE L'HOMME

    ETATS GENERAUX MAI 1789


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