• FRUCTIDOR (18 fructidor/4 septembre 1797)

    FRUCTIDOR (18 fructidor/4 septembre 1797)

    FRUCTIDOR (18 fructidor/4 septembre 1797)

    FRUCTIDOR (18 fructidor/4 septembre 1797)

    FRUCTIDOR (18 fructidor/4 septembre 1797)François Charles Augereau en 1798

    AUGEREAU BIO :

    Sa taille, ses manières, ses paroles, lui donnaient l’air d’un bravache ; ce qu’il était loin d’être quand une fois il se trouva gorgé d’honneurs et de richesses, lesquelles d’ailleurs il s’adjugeait de toutes mains et de toutes les manières. C’est ainsi que le prisonnier de Sainte-Hélène juge le maréchal qui a maté la poussée royaliste du 18-Fructidor, réprouvé le projet du 18-Brumaire, exposé sa vie sur les champs de batailles de l’Empereur, dénoncé Napoléon comme un tyran en 1814. Augereau, de condition très modeste, s’engage à 17 ans dans les armées prussiennes puis napolitaines. Il s’établit maître d’escrime à Naples. A la Révolution, il rentre en France. D’abord simple soldat dans la Garde nationale, il est, cinq ans plus tard, général de division dans l’armée d’Italie.

    En avril 1796, il prend le château de Ceva, son premier exploit sous le commandement du général Bonaparte. Sa bravoure s’illustre à Lodi le 10 mai 1796, lorsqu’il s’élance malgré la pluie de mitraille autrichienne. Le 3 août 1796, son intervention lors de la bataille de Castiglione renverse le sort de la bataille. A Arcole, le 15 novembre, il s’élance sur le pont à la tête de ses troupes. Bonaparte lui accorde son estime et sa confiance, malgré les rumeurs sur sa rapacité. Il le délègue à Paris pour mater la poussée royaliste, en septembre. C’est le coup d’Etat du 18-Fructidor. Augereau se révèle terriblement efficace, exécutant à la lettre tous les ordres du Directoire ; il est alors nommé commandant d’un corps de l’Armée du Rhin.

    Augereau, député de Haute-Garonne au conseil des Cinq-Cents, est de prime abord opposé au coup d’Etat du 18-Brumaire. Il est proche des Jacobins. Il refuse l’invitation au banquet donné en l’honneur de Bonaparte. Il se rallie néanmoins au Consulat le matin même du 18-Brumaire, embrassant Bonaparte et s’exclamant : "Comment ! Tu as voulu faire quelque chose pour la patrie et tu n’as pas appelé Augereau !".

    SOURCE : empire.histofig.com

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