• NOUS NOUS EFFORCONS D’ECOURTER LA DUREE DE VOTRE VIE 

     

    NOUS NOUS EFFORCONS D’ECOURTER LA DUREE DE VOTRE VIE

    AVEC NOS PUTAINS DE SALOPERIES

    SORTIES TOUT DROIT DE NOS INDUSTRIES.

     

    SOUS LE CONTROLE DES ETATS DES MAFIAS DES PATRONATS

    C’EST LA GRANDE TUERIE DU PEUPLE LAMBDA

     

    CFC – NITRATE- PETRO CHIMIE

    OGM- CIGARETTE-

    Emprunts et dettes.

    HYPERLIPIDEMIE

    KFC OU MAC DO

    MASSIFICATION DU GROS

     

    NOUS NOUS EFFORCONS D’ECOURTER LA DUREE DE VOTRE VIE

    AVEC NOS PUTAINS DE SALOPERIES

    SORTIES TOUT DROIT DE NOS INDUSTRIES.

     

    NUCLEAIRE ET RADIATIONS

    AMIANTE DANS LES POUMONS

    HOMME –SANDWICH, labo vivants

    VIRUS MUTANTS

    ALCOOLS ET TRANQUILISANTS

    PLASTIQUES ET GELEIFIANTS

     

    SOUS LE CONTROLE DES ETATS DES MAFIAS DES PATRONATS.

    C’EST LA GRANDE TUERIE DU PEUPLE LAMBDA.

     

    GRIPPE AVIAIRE, CANCERS

    RMI et misères

    CELLULITE ET FRITURE

    DROGUE DOUCE ET DURE

    TREPANATION TELEVISUELLE

    REJETS, vidanges, POUBELLES.

     

    NOUS NOUS EFFORCONS D’ECOURTER LA DUREE DE VOTRE VIE

    AVEC NOTRE PUTAIN D’ECONOMIE

    NIANT TOUTE FORME D’ECOLOGIE.

     

    RELANCONS LE POUVOIR D’ACHAT

    U N PESTICIDE CONTRE LE SURPOID

    DU MENSONGE ET DE L’ARROGANCE INDUSTRIELLE.

    QUE LE POLLUEUR MANGE SES POUBELLES !

     

    NOUS NOUS EFFORCONS D’ECOURTER LA DUREE DE VOTRE VIE

    AVEC NOS PUTAINS DE SALOPERIES

    ET LE CAC 40 S’EN REJOUIT

     

    MONDIALISATION ET GLOBALISATION

    LE PLAN MARSHALL SUR NOS FRONDAISONS

    LE CAPITALISME COMME BIBLE

    LE COMMUNISME COMME CIBLE

    LE LIBERALISME COMME FIBRE

    LA CROIX DU MERITE POUR SURVIVRE

     

    NOUS NOUS EFFORCONS D’ECOURTER LA DUREE

    DE VOTRE VIE.

    VOS BESOINS SONT LIPOSOLUBLES DANS VOTRE CONNERIE

    SOUS LE CONTROLE DES ETATS, des MAFIAS, DES PATRONATS

    SI TU TENDS LA MAIN ON TE PRENDS LE BRAS

    NOTRE PUTAIN D’ECONOMIE

    C’EST LA DETTE , qu’avant de naître, TU PAIERAS

    C’EST LA PLANETE, qu’avec les marchands, TU DETRUIRAS…

     

    JLB 08 JUIN 2007.

     

     

     


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  • LES IGNOBLES

    Ils ont remplacé les nobles,

    C’est toute la France qu’ils dérobent,

    C’est toutes nos valeurs qu’ils absorbent,

    C’est toute notre Histoire qu’ils snobent.

     

    LES IGNOBLES,

    Dès qu’ils ont ouvert la bouche

    Dans un relent putride

    Leur vile politique accouche

    De pantins liberticides.

     

    Mais quand ceux-ci, par le clergé, bannis,

    Se mettent à dos ce qu’il reste de bonté au pays,

    Une lueur d’espoir pointe sur la vieille France,

    Un glaive acéré se lève contre l’intolérance.

     

    Ils ont remis au goût du jour,

    La haine comme crédo à chaque discours.

    Le FN en plus minable, rendu sourd.

    L’opprobre nous jette à la face son souffle court.

     

    LES IGNOBLES,

    Chacun de leurs actes sèment la colère,

    Chacune de leurs lois augmentent la misère.

    On les entasserait bien dans un charter pour l’enfer,

    Mais personne ne veut plus de cette clique de gangsters.

     

    Ils ont kidnappé la République,

    Devenue le paillasson de l’homme à tics,

    Qui derrière eux pourra faire de la politique,

    Lorsqu’on jette à son peuple un regard aussi cynique ?

     

    Mais dans leur propre panier à crabes

    S’élèvent des voix contre les actions intolérables.

    La honte monte au visage de ces marchands de sable,

    Voudraient-ils rendre leur parti moins exécrable ?

     

    LES IGNOBLES

    Ressassent à jamais leur dogme xénophobe,

    Encore reste-t-il quelques incultes qui gobent,

    L’infâmant racisme que leur politique englobe.

    Mais la France, elle, peut-elle vomir ces microbes ???

     

                                                                 JLB 25 AOUT 10

     

     

     


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  • HISTOIRE DE LA COMMUNE DE PARIS 1871

     

    CHAPITRE I

     

    « la FIN DE L’EMPIRE »

    (1865-3 Septembre 1870) 

     

    « Scandale et honte pour toi France

    Indignité est vomie sur ton sein.

    DES INCREDULES TE LIVRENT A MILLE MANIGANCES,

    SUR LES PAS DE L’ENVAHISSEUR, ils font chemin. »

     

     

    LA CUREE 

     

    Second Empire, époque des plus pires,

    Tout parvenus, à la fortune en ligne de mire.

    Période de vols et de concussions,

    La Cour vit sur les fonds de la Nation.

     

    ILS SE SONT TOUS RUES A LA CUREE

    NAPOLEON LES Y A AUTORISE !!!

     

    Turpitudes de tous les régisseurs capitalistes,

    L’impérialisme autoritaire était en piste,

    Richesse crapuleuse sur crimes peu scrupuleux.

    Les « décembrisseurs » n’étaient en rien des partageux.

     

    ILS SE SONT TOUS RUES A LA CUREE

    ONT TOUT PRIS S’EN RIEN REGARDER !!!

     

    Amas d’ordures et compromissions voyantes,

    Justice impériale pour eux trop clémente,

    Poignée de trafiquants, avides spéculateurs,

    Immeubles et Bourse dorent leur honneur.

     

    ILS SE SONT TOUS RUES A LA CUREE 

    MANGEURS A TOUS LES RATELIERS !!!

     

    Charlatans et escrocs de plusieurs provenances,

    Mains crochues qui dirigeront la France,

    Affairistes douteux, financiers du Coup d’Etat,

    Oligarchie prétentieuse que rien n’arrêtera.

     

    ILS SE SONT TOUS RUES A LA CUREE

    DE L’IMPERIALISME CARACTERISE !!!

     

    Despotisme militaire, ingérence cléricale,

    Oppression politique, mainmise dictatoriale,

    Le peuple dans la misère ou dans la guerre,

    « L’Empire, c’est la paix », slogan à taire.

     

    ILS SE SONT TOUS RUES A LA CUREE

    TANDIS QUE LA RUE ETAIT ULCEREE !!!

     

    Magnificence Haussmannique avec trafics scandaleux

    Fausses expropriations pour marchés honteux,

    Napoléon est ce très pâle empereur légitime,

    Personnalités nationales vivant que par le crime.

     

    ILS SE SONT TOUS RUES A LA CUREE

    AVEC SERENITE, ILS EN ONT PROFITE !!!

     

    Enrichis impopulaires, sorciers du Capital,

    Maîtres du pouvoir à la rapacité impériale,

    Oui, vivez votre temps avant les Sedan,

    Sur cet os nombreux, vous vous casserez les dents.

     

                                                                                                 JLB 18 JANVIER 1984

     

    D’après « J. Duclos : La Commune de Paris à l’assaut du ciel »

    Inspiré par « E. Zola : La Curée »


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  • HISTOIRE DE LA COMMUNE DE PARIS 1871

     

    « VIVE L’EMPEREUR » 2e partie

     

     

    Le morne homme crût toujours bien faire,

    A la place du soleil, faisant la lumière.

    L’homme simple cachait une cour avide,

    Et les ministres despotes firent vite le vide.

    Certes le pays repris son rang,

    Avec un faciès de gloire, cachant mal son sang.

    Morny organisait la répression,

    Egalité, Fraternité, disparaissaient des frontons.

    Quelle France a acclamé cet homme ?

    Par les neveux, les oncles encore assomment.

    La France entra dans l’ère moderne,

    Montrant une vitrine qui escamotait des derrières bien ternes.

    Mais l’Empereur voulait garder une image sincère,

    Que tous ses faits et gestes politiques, contrarièrent.

    Des députés automates dans une Assemblée sans tribune,

    Des candidats « officiels » pour remplir les urnes.

    La presse, c’était tout sauf la presse,

    Recevant des ministères des articles express.

    Dans la tête rêveuse de Napoléon III,

    Un autre monde que le réel avançait à petits pas.

    Volontaire pour son pays,

    Que lui laissait donc faire son aristocratie ?

    Laborieux dans son autorité,

    Par le social, aurait-il dû commencer ?

    Dix ans de baïonnettes

     ont échaudé bien des têtes.

    Déjà le monde de l’argent  écrasait celui de la misère,

    Cet  empereur oubliait souvent son répertoire humanitaire.

    Des mains ouvrières construisaient le pays,

    En retour, elles furent bien mal servit.

    Car qui creusa les canaux ? Posa les rails ?

    Lorsqu’ailleurs avec ses armées, Napoléon faisait un sombre travail.

    L’Empire second voulait égaler le premier,

    Ajouter aux arcs de triomphe, quelques crimes gagnés.

    Crimée, Italie, Chine…

    Bientôt les trophées  reviendront en ruine.

    L’Empire latin du Mexique,

    Finira en épopée tragique.

    Personne ne suivra plus le guide,

    Lorsque celui-ci lâchera la bride.

    Le Peuple, lui, se sentira  berné,

    Voyant les affairistes  très bien installés.

    Napoléon III « le diplomate »,

    Resterait-il satisfait dans ses pénates ?

    Son oncle dans son tombeau,

    De l’Entente Cordiale eût froid dans le dos !

    Paradoxe des temps de prospérité,

    De mauvaises guerres et de bonnes paix,

    Pour l’opium ou le commerce,

    L’argent sur l’Empire tombera en averses.

    Ceux qui pourront le ramasser,

    Les nantis, les autorisés,

    Jusqu’aux ultimes minutes du règne,

    Formeront autour du fantôme un malsain harem,

    Jusqu’aux nouvelles de Sedan,

    Continueront seuls à aboyer froidement.

     

    « VIVE L’EMPEREUR

    DU REGNE DE LA PEUR

    DES HEURES DE LA SUEUR,

    VIVE NAPOLEON LE MOQUEUR »

     

    Cet Empereur qui dans ses dernières années

    Tentera, enfin, de se soucier du sort des ouvriers.

    Or le mal était fait,

    le trou creusé,

    Entre « bourgeois et prolétaires ».

    Une nouvelle société était sorti de terre,

    Une lutte entre classes allait s’engager,

    Entre deux Internationales,

    L’ouvrière et la patronale.

     

                                                                              Clichy, JLB  4 JUIN 91.


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  •     RE.SIS.TAN.CE.
               
    QUELLE SOCIETE, L'ON NOUS PROPOSE ?      
    QUELLE ARROGANCE, L'ON NOUS OPPOSE ?    
    C'EST LE DEGOUT, C'EST L'OVERDOSE !      
    TOUT LE SYSTEME EST EN CAUSE !      
               
    RE.SIS.TAN.CE.        
    A LA PERFIDE PRESIDENCE      
    RE.SIS.TAN.CE.        
    C'EST AUJOURD'HUI QUE L'ON COMMENCE ?    
               
    LE CAPITALISME FAIT SA CRISE,      
    DU MOINS, C'Est-ce QUE L'ON MEDIATISE.    
    STOCKS OPTIONS ET BONUS contre SMIC OU RMI,    
    TOUJOURS LES MEMES FAUSSENT LA PARTIE.    
    TRAVAILLER PLUS ET GAGNER MOINS,      
    LES PARADIS FISCAUX SE FROTTENT LES MAINS.    
               
    RE.SIS.TAN.CE.        
    A LA POLITIQUE MENEE EN France.      
    RE.SIS.TAN.CE.        
    C'EST TOUT DE SUITE QUE L'ON AVANCE.    
               
    BRISER LES DROITS, CASSER LES HOMMES,    
    VOILA LES AMBITIONS DE VOS REFORMES.    
    SERVICES PUBLICS VENDUS AUX PLUS OFFRANTS    
    JUSTICE RENDUE AUX MIEUX DISANTS,      
    EDUCATION SOLDEE POUR NOS ENFANTS,    
    RETRAITE CASSEE POUR NOS PARENTS.      
               
    RE.SIS.TAN.CE.        
    A TOUTES LES CASTES DE CONNIVENCE.    
    RE.SIS.TAN.CE.        
    C'EST LA LUTTE, LA PERTINENCE.      
               
    LA GRANDE BRADERIE DES ACQUIS, VERS LES AGES DU NEANT,
    QUAND LES NOBLES FAISAIENT LA PLUIE ET BEAU TEMPS,  
    FAITES MARCHER VOS MEMOIRES, COMPULSEZ L'HISTOIRE,  
    MILICES ROUGES, CHEMISES BRUNES, OU PESTES NOIRES,  
    L'ARGENT N'A PAS D'ODEUR POUR TOUS LES RENTIERS.  
    ILS USENT DES LOIS ANTITRAVAILLEURS EDICTEES.  
               
    RE.SIS.TAN.CE.        
    AU LIBERALISME EN DECADENCE.      
    RE.SIS.TAN.CE.        
    C'EST MAINTENANT QU'ON MET L'AMBIANCE !!!    
               
    RE.SIS.TAN.CE. A LA SOCIETE QU'ON NOUS PROPOSE
    RE.SIS.TAN.CE. A L'ARROGANCE QU'ON NOUS OPPOSE
    RE.SIS.TAN.CE. A CE DEGOUT, CETTE OVERDOSE,  
    RE.SIS.TAN.CE. A CE SYSTEME QUI EST EN CAUSE.  
               
          JLB 31 MARS 2009  
               

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  • LA COMMUNE

    C'était comme une histoire d'amour,

    la liberté se levait tous les jours.

    Ils ont trop bien vécu ces moments,

    pour qu'ils veillissent dans notre présent,

    nos parents de la Commune de Paris,

    dont la mémoire à chaque instant rejaillit.

    Les révolutions modernes ont cet unique modèle,

    ce monument inaltérable et de lutte fraternelle,

    LA COMMUNE, LA COMMUNE....

      

      

     

     

    CHAPITRE 0 "L'EMPIRE LIBERAL" (1856-1865)

      

    "VIVE L'EMPEREUR" 

    S'il faut donner une effigie à ce temps, 

    celle qui lui sierait bien est la personne du prince-président. 

    Le neveu du grand Napoléon 

    ne manquait pas d'idées, ni d'ambitions. 

    Et comment aurait-il  pu échapper à son atavisme ? 

    Nourri des illusions du Bonapartisme. 

     

    Longtemps comme tous les princes sans trône, 

    à travers l'Europe, aux bonnes oeuvres, il se donne. 

    Mais les jours où il fût patriote italien 

    se sont évanouis en chemin. 

    L'homme silencieux, le prince taciturne, 

    convoitait-il déjà le verdict des urnes ? 

     

    Dans ces séjours anglais, 

    banni, le flegme l'envahi, 

    l'homme en restera marqué. 

    Il conspire, il écrit, 

    citoyen suisse, bourgeois de Thurgovie, 

    il cueille la conspiration comme de mauvais fruits. 

    Mais à Strasbourg, le Bourbon, le fera marron. 

    A Boulogne, le ridicule, l'enverra en prison. 

    Lorsque l'Etat tient en trop d'importance, 

    les hauts personnages qui contre lui manigancent, 

    il les juge et de la sorte les met au jour. 

    Un bon jugement vaut un grand discours. 

    La France avait donc un Napoléon en réserve, 

    mis en forteresse, pour que le temps le préserve. 

     

    Or six années de noirceur ne le briseront pas, 

    et dans la cotte de Badinguet, il s'évadera. 

    Lorsqu'à Paris, les rois tombent, 

    l'aigle ressort de l'ombre. 

    Armé de science sociale, de plan économique, 

    élu député de la nouvelle République, 

    les ouvriers attendent encore ses solutions mirifiques, 

    car ils plébiscitèrent sa "belle" politique. 

     

    En échange, il débarqua leur liberté, 

    l'autocrate dans le président grandissait. 

    Le pays, en lui avait mis ses espoirs, 

    sur les marches de l'Histoire, ce ne seront que déboires. 

    Trop de Napoléon peut nuire, 

    le peuple aurait dû le fuir. 

    Quelques traficotages dans la Constitution, 

    quelques consencieuses suppressions, 

    et le rapace pouvait sortir du nid, 

    jettant son paternalisme aux laborieux du Pays. 

     

    Puis il endormait la Nation, 

    une nuit de décembre à coups de canons. 

    BOURGEOIS VOICI DE LA TRANQUILLITE 

    LE SECOND EMPIRE ETAIT PROCLAME.   

                                                                                 VIVE L'EMPEREUR 

                                                                                 DU REGNE DE LA PEUR 

                                                                                DES HEURES DE LA SUEUR 

                                                                                VIVE NAPO LE MOQUEUR.... 

     

    FIN DE LA 1ere partie. 

     


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  • DEVOIR DE MEMOIRE

     

    Des gens veulent corriger l’Histoire,

    Obtus négationnistes,

    Soit disant savants, à la face noire.

    Crimes contre le passé de ces révisionnistes !

    L’Histoire d’un peuple ou d’une condition

    Est l’ancre qui arrime les Nations.

     

    DEVOIR DE MEMOIRE

    DES VISAGES DANS LES MIROIRS.

     

    Par la lutte et le combat,

    C’est construit le code de nos droits.

    Des scribes de multinationales,

    Des héritiers de mottes féodales,

    Soldent des avocats véreux, des députés mafieux,

    Règlent par le mensonge, leurs vieux contentieux.

     

    DEVOIR DE MEMOIRE

    DES PHOTOS DANS LES TIROIRS.

     

    Nos pères ont subit la révolution industrielle,

    Les patrons qui vous arnaquent d’un air paternel.

    Sous-hommes, vieillards à quarante ans,

    Qui un jour dire, STOP ! çà suffit maintenant !

    Ils levèrent un drapeau de sang, rouge de conquêtes,

    Et pour dix victoires encore, il y eût cent défaites.

    Vivre libre ou mourir, debout plutôt qu’à genoux

    Car  à chaque heure, la misère vous tord le cou.

     

    DEVOIR DE MEMOIRE

    DES RELIQUES DANS LES ARMOIRES.

     

    Mutuelles, repos dominical, congés payés…

    Le droit du travail a laissé des morts sur le pavé.

    La Commune, Chicago, 36, le CNR, mai 68…

    Les Canuts, les FFI, les syndicalistes et les grêvistes,

    On vide de cette culture les nouvelles générations,

    Et sans cet enseignement, il n’y a plus d’ambitions.

     

    DEVOIR DE MEMOIRE

    DES LIVRES PLEINS D’HISTOIRES.

     

    La condition du Prolétariat, les mouvements ouvriers,

    Par les voix du Capital sont éludés.

    Par des lois pseudo-économiques sont étouffés.

    Mais se sont les luttes sociales le ferment de la République,

    On le nie pour nier un jour toute idée démocratique,

    Pour faire la place à une seule version historique,

    La propagande du Capital…

    LA NEGATION DES LUTTES SOCIALES.

     

     

    DEVOIR DE MEMOIRE

    DES VISAGES DANS LES MIROIRS.

    DEVOIR DE MEMOIRE

    DES PHOTOS DANS LES TIROIRS.

    DEVOIR DE MEMOIRE

    DES RELIQUES DANS LES ARMOIRES.

    DEVOIR DE MEMOIRE

    DES LIVRES PLEINS D’HISTOIRES.

     

                                                                            Jlb 12/13/14 AOUT 09

     


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  •           LES TEMPS NE MEURENT PAS

    L’AURES L’ALGEROIS

    MON PERE ETAIT LA BAS

    L’OAS LES FELLAGAS

    TON PERE ETAIT D’CEUX LA

    L’AUTODETERMINATION

    LES PARAS ET LA QUESTION

    LA BATAILLE D’ALGER

    LES PEUPLES DECHIRES

    MNA/ALN / FLN

    GUERRE INTERNE

    LES EVENEMENTS

    AVEC LE CONTINGENT.

     

    LES TEMPS NE MEURENT PAS

    LES MEMOIRES SONT LA.

     

    COMME UNE DECHIRURE

    ENTRE PRESENT ET FUTUR

    SUPPLETIFS ET LEUR FAMILLE

    COLONS ET LEURS VALISES

    LES DRAMES SONT PAR MILLE

    ALGER LA CASBAH INSOUMISE .

    NOS PERES ONT AU FOND D’EUX

    CES HEURES SANS NOM

    RATONNADES OU OPERATIONS

    LES ACTES DEVIENNENT OMBREUX.

    LA France COLONIALE

    MOURAIT DANS UN LONG RALE .

     

    LES TEMPS NE MEURENT PAS

    LES LIVRES SONT DEBOUTS DEVANT TOI 

     

    LA KABYLIE , LA MITIDJA

    L’ORANAIS, LE CONSTANTINOIS.

    DANS LES CHOTTS OU LE DJEBEL

    LES IMAGES NE SONT PAS VIEILLES.

    LES POUVOIRS SPECIAUX POUR GARDER RAISON

    QUAND L’HISTOIRE QUITTE LES FRONDAISONS

    MAINTENUE PAR LA PACIFICATION

    RENOUVELLEE PAR LA REBELLION.

    NOS PERES RESTENT MUETS

    LES LIVRES SEMBLENT CRYPTES.

    IL FAUT TOURNER LES PAGES ,

    CONSULTER LES HOMMES SAGES.

     

    LES TEMPS NE MEURENT PAS

    LA MEMOIRE A REPRIS LE COMBAT

    LES TEMPS NE MEURENT PAS

    LES LIVRES SONT DEBOUTS DEVANT TOI.                         JLB O8 juin 07

     


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  • IDENTITE NATIONALE ? Du fin fond des âges, on eût du monde dans les parages, Peuplades aux milles visages, que des conquérants poussaient avec rage. Celtes, Romains, Huns, barbares germains, hommes du Nord, Cette terre est multitude, ce sol n’est pas ingratitude. Du fin fond des âges, la France n’est que passage ! Votre IDENTITE NATIONALE, qu’une lubie, qu’un barrage ! Des clans de huttes aux seigneuries de châteaux forts, La peur de l’étranger exulte, la différence dérange les habitudes. Ces fleuves vous ont lavé, ces forêts vous ont nourri, Ces montagnes vous ont protégé, ces champs vous ont grandi, Du Sud, du Nord, de l’Est, d’où que vous veniez, Générations d’Hommes, il n’est d’endroit où s’arrêtent vos pieds, Un jour l’on se pose, pour bâtir un avenir avant toute chose, Mais de l’absolutisme aux républiques, jamais ce ne fût rose. A travers les siècles, vous cherchez votre IDENTITE NATIONALE ! Cinq mille ans de migrations ont gravé vos annales ! Vous cherchez vos valeurs dans de simples papiers Vous levez votre honneur comme un drap ensanglanté, Acculturés ! assimilés ! Les nations évoluent par ce qu’on y apporte, Des lumières aux droits de l’homme, votre IDENTITE NATIONALE avorte ! Quand les peuples sont en marche, il n’y a pas de frontière, Ils bâtissent des villes et dorment dans les mêmes cimetières. Ils s’affranchissent des obstacles parce qu’ils écrasent les cénacles, Leurs coutumes et leur us, ils les offrent au pinacle. Tant d’ignorance à la tête de la France, Des Empires aux trente Glorieuses, la Nation n’a plus de sens. Si ceux qui nous gouvernent ne savent d’où ils viennent, C’est que leurs pères ont fuit portés par leurs haines. Leur IDENTITE NATIONALE n’est qu’une obstruction cérébrale Espérons qu’à plus personne, ces gens ne servent de fanal. La communauté des hommes libres ne s’en portera que mieux, Libérés des carcans, des imageries, des dogmes et des dieux. JLB 12/11/2009

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  • ORIENTALES REVOLUTIONS

     

     

    Quand je pense qu’il y a encore des drapeaux rouges qui se lèvent.

    Quand je vois tout ce peuple qui défile la liberté aux lèvres.

    L’espoir renaît de part le monde,

    Les petits rois, les grotesques dictateurs tremblent à la ronde.

     

    ORIENTALES REVOLUTIONS

    LES DIKTATS N’EMPORTENT JAMAIS LA RAISON.

     

    Cette jeunesse ragaillardit, ces opposants rafraîchis,

    Montrent à la planète, la quête de toute une vie.

    Voici la voix d’outre tombe d’un peuple vite enterré,

    Voici la faim du nombre, la parole ressuscitée.

     

    ORIENTALES REVOLUTIONS

    Les oligarchies tombent à la moisson.

     

    Chaque journée devient une page de l’Histoire,

    Que nos satisfaites démocraties y jettent un regard,

    De l’œil glauque de leurs prétentions sécuritaires.

    QUI SEME LA MISERE RECOLTE UN JOUR LA COLERE !!!

     

    ORIENTALES REVOLUTIONS

    LES DIKTATS N’EMPORTENT JAMAIS LA RAISON.

     

    Quand je pense aux caciques en fuite, aux vieux pharaons,

    Quand je vois où les conduisent, la corruption et l’oppression.

    L’Occident,  c’est trop longtemps voilé la face devant ces régimes,

    Tapis rouges aux maîtres qui ont pour leur peuple, LA FAMINE !!!

     

    ORIENTALES REVOLUTIONS

    Les oligarchies tombent à la moisson.

     

    Mais les vieux réflexes colonialistes ressurgissent,

    Faites vos révolutions pendant que vos sbires agissent,

    Vous aurez un contrat en béton pendant qu’ils vous pilleront.

    Face book vous regarde d’un attentif lorgnon.

     

    ORIENTALES REVOLUTIONS

    LES DIKTATS N’EMPORTENT JAMAIS LA RAISON.

     

    Tunis est dans l’impasse, Le Caire juge son grabataire,

    Pendant que les images font le tour la terre,

    HAMA, c’est GUERNICA, le monde laisse faire,

    Les rois sont marocains, Kadhafi fait le fier.

     

    ORIENTALES REVOLUTIONS

    Les oligarchies tombent à la moisson.

     

    Quand je pense aux foules du Yémen,

    Quand je vois ces cultures levant leurs chaines,

    L’espoir me dit de ne jamais perdre haleine.

    Milliards d’exploités, nous sommes de la même veine.

     

    ORIENTALES REVOLUTIONS

    LES DIKTATS N’EMPORTENT JAMAIS LA RAISON.

     

    ORIENTALES REVOLUTIONS

    Les oligarchies tombent à la moisson.

     

                                                                  JLB 06 AOUT 11


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  • Amis blogueurs, camarades de l'heure, et camarades de toujours,

    je crée ce blog pour y mettre mes HUMEURS REBELLES, depuis mes 17 ans,(j'en ai bientôt 48) j'écris, certes sans prétention, mais cela fait tout de même 3000 textes environ, espèrons que je ne pète pas le serveur avec tout çà, et que ma prose, ma poèsie, vous plaira.

    Elle sera mieux là que dans la poussière de mes étagères. Elle plaira pas non plus à tout le monde, loin de là, mais en DEMOCRATIE, le citoyen doit s'exprimé tant qui le peut encore...Le Franc-parlé n'est-il pas au plus profond de notre culture. Ils nous restent la parole, tant qu'on a pas le baillon, alors en avant... Et bonne lecture.

    Eugène (jlb)

    Pour commencer, si j'arrive à maitriser la lumière informatique, je publierai une "HISTOIRE DE LA COMMUNE DE PARIS 1871" un thème qui me tient à coeur et dont les textes ont été écrits dans les années 80.


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