• MACERATION POPULISTE

     

    180 000 suicides à l’UMP,

    La Droite est vraiment dépeuplée.

    Voilà, qu’ils ressortent Juppé,

    Pour de son casier, couvrir le charnier.

    Manque plus que le « témoin assisté »,

    Pour que les zombies commencent à défiler.

     

    Un, deux, au pas de l’oie devant Copé,

    Et virez moi tous les huissiers !

    Le « Parti » est au dessus de la Justice

    Et y trouvera bien toujours d’anciens complices.

     

    Exhumer encore De Gaulle, empailler Chirac,

    Faites des ampoules des cendres de Jeanne d’Arc,

    La Droite s’écroule comme une vieille poule,

    Les œufs d’or sont pourris de magouilles.

    Tous ces militants croulent sous la honte,

    Et Le Pen les guette pour la tonte.

     

    On devrait se réjouir, peut-être compatir,

    Même leur trésorier a décidé de s’enfuir.

    Pinder et Bouglione se tiennent à carreau,

    L’UMP à lui seul va mettre le cirque au tombeau.

     

    JLB 26/11/2012

     

     


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  • 20 MAI 1795 INSURRECTION DES SANS CULOTTES

    8 JUIN 1795 (20 Prairial AN III) MORT DE LOUIS XVII au Temple

    (Louis XVII par Peter d'Aprix)

    15 Juillet 1795 (27 messidor an III): Débarquement à Quiberon de 2000 émigrés conduits par De Sombreuil.

    21 juillet 1795 (3 thermidor) : Capitulation des émigrés, 748 d'entre eux seront fusillés. (source HISTOIRE ET DICTIONNAIRE DE LA REVOLUTION FRANCAISE 1789-1799 J.TULARD/ JF FAYARD/ A.FIERRO)

    5 OCTOBRE 1795 (13 VENDEMIAIRE) Bonaparte mitraille les royalistes à St Roch

    SAINT JUST "L'ARCHANGE DE LA TERREUR"


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  • INDICE DE DEMOCRATIE 2011 THE ECONOMIST

    SOURCE WIKIPEDIA

    VA VOIR AILLEURS CE QUI SE PASSE

     

    Le vent se lève dans l’angoisse,

    va voir ailleurs ce qui se passe.

    C’est la tempête qui t’efface,

    va voir ailleurs ce qui se passe.

     

    T’as fait le tour de toutes les émotions,

    t’as étudié toutes les révolutions.

    Va voir, s’il y a d’autres histoires.

    Va voir, la barricade du boulevard.

     

    Esprit critique ou visionnaire,

    ténor politique ou écœuré de misère,

    infarctus de peur au bas du HLM,

    partout tu rencontreras un système.

     

    VA VOIR AILLEURS CE QUI SE PASSE

    LES DICTATURES LAISSENT DES TRACES.

    VA VOIR AILLEURS CE QUI SE PASSE

    LES REPUBLIQUES SONT DANS L’IMPASSE.

    VA VOIR AILLEURS CE QUI SE PASSE

    LES MONARCHIES FONT DES GRIMACES.

    VA VOIR AILLEURS CE QUI SE PASSE

    DES ORGANISATIONS, NOUS JOUENT D’AUDACE.

     

    Militant, militaire, la croix et la bannière,

    trublion averti des émeutes palières.

    Chemise Mao, livre rouge, gauchiste de la cafetière,

    devenu cadre sup ou gras fonctionnaire.

    Ton discours est douloureux comme une hémorroïde.

    on ne change pas le monde avec un tel bide.

    Va voir chez les grecs, si la sédition n’y est pas,

    va voir, va voir ! Et surtout ne reviens pas.

     

    Technocrates assassins, idéologues inhumains,

    du monde entier, vous avez fait un pétrin.

     

    AILLEURS, VOUS VOYEZ CE QUI SE PASSE.

    LES DICTATURES LAISSENT DES TRACES.

    AILLEURS, VOUS VOYEZ CE QUI SE PASSE.

    LES REPUBLIQUES SONT DANS L’IMPASSE.

    AILLEURS, VOUS VOYEZ CE QUI SE PASSE.

    LES MONARCHIES FONT DES GRIMACES.

    AILLEURS, VOUS GEREZ CE QUI SE PASSE.

    VOS ORGANISATIONS NOUS JOUENT D’AUDACE.

     

    Pour la démocratie, vous êtes des menaces.

    Vous avez fait de la liberté, une farce.

     

    Le monde gît dans cette poisse.

    Où voir ailleurs, ce qui se passe ?

    C’est le global qui nous écrase.

    Où voir ailleurs, ce qui se passe ?

    Fermer sa gueule et boire la tasse ?

     

    JLB 2 MARS 2003

     

     


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  • ST VAAST LA HOUGUE

    PARCS A HUITRES DEVANT LA TOUR DE LA HOUGUE

    MORSALINES LE VILLAGE 1872

    JEAN BAPTISTE ANTOINE GUILLEMET 1843-1918

     

    Peintre de compositions religieuses, paysages, marines. Il est l’élève de Corot et d’Oudinot.  Il débute au Salon en 1865. Il sait admirablement mettre en  valeur ce qu’il avait appris de ses maîtres et il obtient plus de  récompenses et de distinctions que les plus illustres peintres de  son époque : mention honorable en 1872, médaille deuxième  classe en 1874 et 1876,Chevalier de la légion d’honneur en  1880, médaille d’argent à l’Exposition Universelle de 1889,  officier de la Légion d’honneur en 1896, médaille à Munich en  1905, et commandeur à la Légion d’Honneur en 1910.  Il est mêlé au mouvement impressionniste, il présente Manet à  Zola et fait admettre Cézanne au Salon de 1882 comme son  élève. 

    LA TOUR EIFFEL 1885

    L'EGLISE DE BARFLEUR 1882


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  • ROCHERS A ROSCOFF 1872

    LE TRAVAIL 1885

    CHANTIER D'UN BARRAGE A SURESNES

    LE 14 JUILLET 1880

    Alfred Roll

     

     

    Alfred Philippe Roll, né le 1er mars 1846 à Paris où il est mort le 27 octobre 1919, est un peintre français de style dit « pompier ».

    Biographie 

    Roll étudie à l'École des beaux-arts de Paris où il suit l'enseignement de Harpignies, de Bonnat et de Daubigny. Il peint son premier paysage en 1869, puis expose Les Environs de Baccarat et Le Soir à Salon-de-Provence en 1870. Il est lieutenant de milice pendant la Guerre de 1870. C'est en 1875 que le public commence à s'intéresser à lui avec Inondation à Toulouse, qui se trouve aujourd'hui au musée du Havre. Son style est alors plutôt romantique avec des influences de l'école bolognaise et de Gustave Courbet. Il expose La Fête de Silène en 1877 au Salon de Paris1, toile pour laquelle il reçoit un médaille d'or, et son style devient plus académique et réaliste, tandis qu'il entame une carrière de portraitiste.

    Sa toile La Grève des mineurs (1880) rencontre un vif succès et il devient l'un des peintres officiels de la Troisième République. Il reçoit de nombreuses commandes de l'État, peint des fresques, des plafonds et des œuvres monumentales. On lui doit à cette époque Le Président Carnot à Versailles pour le centenaire des États-généraux2, Le Tzar Nicolas II et le président Félix Faure posant la première pierre du pont Alexandre III, Les Plaisirs de la vie et La Prime jeunesse3.

    Roll est fait chevalier de la Légion d'honneur en 1883. Il devient président de la Société nationale des beaux-arts en 1905.

    SOURCE WIKIPEDIA

    LA GREVE DES MINEURS

    EXODE 1894


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  • M. F’ION

     

    M. F’ion s’est fait écoper.

    Il devait largement gagner !

    Cà sent le rat crevé à l’UMP.

    Même les morts ont du voter !

     

    La France décomplexée

    Voudrait un jour, gouverner ?

    Mais, elle ne sait même pas  compter !

    Elle a trouvé son candidat,

    Dans des histoires de pain au chocolat.

    La sénilité guette cette Opposition là !

     

    M. F’ion a pris acte.

    On lui a emmanché la pancarte.

    M. Copé : C’est la droite fière,

    Qui vous prend par derrière,

    Qui tabasse homo et femme

    En copulant avec le F.N.

     

    Avec ce bel avenir,

    Mieux vaudrait, laisser Sarkozy, revenir.

    En politique, a-t-on déjà vu pire,

    Que la foire d’empoigne de ces sbires ?

    La démocratie, peut-elle se réjouir ?

    C’est notre République que l’on continue de salir.

     

    JLB

    20/11/2012

      

    source : pain au chocolat : musulmans-et-airsofteurs.overblog.com

     


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  •  

    voir le site acipa.free.fr

    Notre dame d’AYRAULT

     

    Le concorde est mort !

    Déchiqueté par le crack pétrolier.

    Et toutes les vieilles pistes américaines,

    ne sont pas recyclables pour les soucoupes martiennes.

    Et puis, développement et essor,

    ne font pas de bons produits laitiers.

     

    NOTRE DAME D’AYRAULT,

    avec Vinci sur les fonds baptismaux,

    quel pari sur l’avenir,

    quand la biodiversité est à détruire ?

     

    Grenelle de l’environnement,

    venez promener vos valises,

    de V.I.P du passé et du présent,

    l’Utilité Publique agirait à sa guise ?

    Au Larzac, on a bouffé leur matraque !

    Au Larzac, les chars ont plié devant les arcs !

     

    NOTRE DAME D’AYRAULT,

    combien de milliards d’euros ?

    Combien d’aéroports de trop ?

    Les vaches ne voteront plus socialo !

     

    Et la faune et les flores, protégées ?

    Nous sommes tous des tritons crêtés !

    Combien d’aéroports sous utilisés ?

    Combien d’études pour améliorer le TGV ?

    De Raffarin à Ayrault, a-t-on avancé ?

    Ils n’ont pas trop de kérosène dans leurs idées !

     

    NOTRE DAME D’AYRAULT,

    Remballez les tréteaux !

    La lande appartient aux crapauds.

    Vinci et Airbus peuvent vivre sur leurs capitaux.

     

    JLB

    17/11/2012

     


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  • COMPETITIVITE

     

    C’était dit, c’était scié,

    dès lors, qu’à Jouy, il défilaient,

    devant la mère maquerelle des entreprises,

    Parisot les tenait à sa guise.

     

    Elle installait son bureau à Bercy,

    sur les genoux de Moscovici.

    Faisant aux bons socialos, la dictée,

    pour les entreprendre sur la compétitivité !

     

    Stratégies et politiques économiques,

    augurent pour la France, distributeurs automatiques,

    de vastes changement sociaux et climatiques,

    avec un beau trou au cul pour les finances publiques.

     

    « Faites confiance aux créateurs et investisseurs ».

    Leur rengaine, on la connaît par cœur.

    Ils se barreront avec le fric de l’Etat et des collectivités,

    et demanderont au travail encore plus de flexibilité.

     

    Horaires rallongés, salaires rabaissés,

    c’est le nouveau pacte pour Emploi, garder !

    Le commissaire Gallois a fait feu de tout bois.

    Les cotisations sociales sont remises au Patronat,

    et la Santé devra survivre par la T.V.A.

    On vous rackettera sur tous vos achats !

    C’est « un compromis historique » !

    Du Capital, le socialisme est devenu, la logistique.

     

                                                             JLB 16/11/2012


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  • LONDRES PONT

    LA TAMISE A WESTMINSTER BRIDGE 1906

    ANDRE DERAIN

     

    Peintre fauviste né à Chatou en 1880, meurt en 1954 près de Chambourcy, dans la solitude. Il étudie en 1898 à l'Académie Carrière, à Paris. Il adopte en 1905 une touche large et carrée avec un coloris lyrique vert, bleu et violet et participe au Salon d'Automne. Il s'installe à Montmartre deux ans après. Il réalise sa première exposition à Paris en 1916. Il est l'un des premiers spécialistes de l'art africain. Il adopte ensuite un style plus conventionnel et traditionnel pour lequel il sera fort critiqué. Alors qu'il est au sommet de son art, son style se distingue par un trait ferme et appuyé. Sa palette est soutenue et ses compositions sont structurées.

    (Source fiche l’express)

    GRAVELINES

    COLLIOURE LE PORT DE PÊCHE


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  • http://www.inrs.fr/accueil/risques/psychosociaux/harcelement-violence-interne.html#video1

    PSYCHOTERREUR

     

    Petit à petit, prendre le dessus,

    insidieusement comme au dépourvu.

    Rendre coupable, rendre ridicule,

    la victime que l’on accule.

     

    PSYCHOTERREUR !

    Le harcèlement est entré dans les mœurs.

    Les hiérarchies se sont mises au labeur.

     

    Persécuteurs de tous les âges,

    ou dominante qui veulent des gages.

    Entrez dans leur système de haine,

    c’est encourir tous les problèmes.

     

    PSYCHOTERREUR !

    Le harcèlement est ignoré du législateur.

    Les persécuteurs peuvent y aller de bons cœurs.

     

    Avilir, détruire, faire subir,

    tout être en viendra vite à décatir,

    certains même à s’auto punir.

    Ainsi les vicieux ont de l’avenir.

     

    PSYCHOTERREUR !

    Tout homme, toute femme a son honneur,

    il faut dénoncer tous les harceleurs !

     

    Rendre malade, agiter la brimade,

    les productifs deviennent fades.

    Sous médicament ! Le rendement du cadre,

    agir vite est la seule parade.

     

    PSYCHOTERREUR !

    Certains individus n’ont que ce moteur.

    La Loi doit les mettre dans son collimateur.

     

    JLB

    1 SEP 2000

     


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  • INDIGESTE RUINE

     

    Durant le siècle atroce,

    d’aucuns furent les Cerbères, d’autres les Molosses.

    Et à se regarder en chiens de faïence,

    pour savoir qui des deux, le premier, tomberait en déliquescence.

    Nous avons ces jours-ci, la réponse,

    le libéralisme détruit sans semonce.

    Il s’est d’abord enquis de la sénescence du communisme,

    lorsque celui-ci, par ses ouailles, martela son gigantisme.

    Lorsque les divinités craintes, gisèrent,

    cassées dans le béton, tordues dans le fer,

    il était temps d’exploiter la déroute.

    Combien d’années avions-nous avant la banqueroute ?

    C’est drôle, ces histoires que l’on répète,

    que le russe a toujours été serf,

    de l’homme, de l’idée…

    Il est temps qu’il apprenne la liberté,

    seul dans son immensité.

    Les donneurs de leçon n’ont qu’à regarder,

    les Molosses rebâtiront l’Epire,

    à moins qu’on ne les pousse dans le piège d’un nouvel empire.

    Qu’on ne leur fasse miroiter de l’argent honnête,

    d’une banque mondiale qui les musellera de dettes.

    Ce serait de nouveau, la forteresse, le camp, le cachot.

    Au fond des steppes, n’y-a-t-il pas des hommes nouveaux,

    pour balayer les Staline sans visage qui gouvernent de derrière leurs bureaux ?

    Avides de cracs boursiers comme d’ultimes vérités,

    Pierre le cruel, Ivan le terrible, seraient ressuscités.

    Hommes de monopoles, faisant de la Sibérie inexploitée,

    pour le vingt et unième siècle, une miséropole.

    Or les hordes ne se contentent pas longtemps d’oboles,

    Patrie de Kropotkine, terre de Bakounine,

    préviens les Cerbères de ton indigeste ruine…

     

    JLB 07/09/ 1998

     

     

     


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  • RE-PU-BLI-QUE

     

    Ré-pu-bli-que !

    Pourquoi tant de flics,

    quand Périclès l’antique

    clamait sous son portique,

    l’idéal démocratique ?

     

    Une et indivisible,

    mais toujours prise pour cible,

    par des doctrines terribles,

    vidanges des âges horribles,

    que les peurs rendaient crédibles.

     

    Sous des signes ostentatoires,

    les reîtres ne referont pas l’Histoire.

    Leurs espoirs sont dérisoires,

    car c’est la conquête du savoir,

    que l’on grave dans les mémoires.

    MAINTENANT…

    A PRESENT…

     

    Ré-pu-bli-que !

    Sous la forge millénaire,

    sous des cliques paperassières,

    elle a survécu aux cancers.

    Elle vaincra, un jour, la misère,

    quant au fric, elle fera la guerre.

     

    Ré-pu-bli-que !

    Que naisse un despote inique,

    surfant sur l’onde médiatique,

    elle se dressera, colérique.

    Brisant ses chaines étatiques,

    reconquérant la place publique.

     

    Que l’on touche, le corps et l’âme,

    et l’Odéon crachera des flammes.

    La République est une femme,

    et rien, à l’homme libre, n’est plus idoine,

     que la plus belle et forte des mariannes. 

    RE-PU-BLI-QUE

    RE-PU-BLI-QUE

    RE-PU-BLI-QUE

     

    JLB 20 et 21 décembre 2003

     

     

     

     


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