• MACERATION POPULISTE

     

    180 000 suicides à l’UMP,

    La Droite est vraiment dépeuplée.

    Voilà, qu’ils ressortent Juppé,

    Pour de son casier, couvrir le charnier.

    Manque plus que le « témoin assisté »,

    Pour que les zombies commencent à défiler.

     

    Un, deux, au pas de l’oie devant Copé,

    Et virez moi tous les huissiers !

    Le « Parti » est au dessus de la Justice

    Et y trouvera bien toujours d’anciens complices.

     

    Exhumer encore De Gaulle, empailler Chirac,

    Faites des ampoules des cendres de Jeanne d’Arc,

    La Droite s’écroule comme une vieille poule,

    Les œufs d’or sont pourris de magouilles.

    Tous ces militants croulent sous la honte,

    Et Le Pen les guette pour la tonte.

     

    On devrait se réjouir, peut-être compatir,

    Même leur trésorier a décidé de s’enfuir.

    Pinder et Bouglione se tiennent à carreau,

    L’UMP à lui seul va mettre le cirque au tombeau.

     

    JLB 26/11/2012

     

     


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  • M. F’ION

     

    M. F’ion s’est fait écoper.

    Il devait largement gagner !

    Cà sent le rat crevé à l’UMP.

    Même les morts ont du voter !

     

    La France décomplexée

    Voudrait un jour, gouverner ?

    Mais, elle ne sait même pas  compter !

    Elle a trouvé son candidat,

    Dans des histoires de pain au chocolat.

    La sénilité guette cette Opposition là !

     

    M. F’ion a pris acte.

    On lui a emmanché la pancarte.

    M. Copé : C’est la droite fière,

    Qui vous prend par derrière,

    Qui tabasse homo et femme

    En copulant avec le F.N.

     

    Avec ce bel avenir,

    Mieux vaudrait, laisser Sarkozy, revenir.

    En politique, a-t-on déjà vu pire,

    Que la foire d’empoigne de ces sbires ?

    La démocratie, peut-elle se réjouir ?

    C’est notre République que l’on continue de salir.

     

    JLB

    20/11/2012

      

    source : pain au chocolat : musulmans-et-airsofteurs.overblog.com

     


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  •  

    voir le site acipa.free.fr

    Notre dame d’AYRAULT

     

    Le concorde est mort !

    Déchiqueté par le crack pétrolier.

    Et toutes les vieilles pistes américaines,

    ne sont pas recyclables pour les soucoupes martiennes.

    Et puis, développement et essor,

    ne font pas de bons produits laitiers.

     

    NOTRE DAME D’AYRAULT,

    avec Vinci sur les fonds baptismaux,

    quel pari sur l’avenir,

    quand la biodiversité est à détruire ?

     

    Grenelle de l’environnement,

    venez promener vos valises,

    de V.I.P du passé et du présent,

    l’Utilité Publique agirait à sa guise ?

    Au Larzac, on a bouffé leur matraque !

    Au Larzac, les chars ont plié devant les arcs !

     

    NOTRE DAME D’AYRAULT,

    combien de milliards d’euros ?

    Combien d’aéroports de trop ?

    Les vaches ne voteront plus socialo !

     

    Et la faune et les flores, protégées ?

    Nous sommes tous des tritons crêtés !

    Combien d’aéroports sous utilisés ?

    Combien d’études pour améliorer le TGV ?

    De Raffarin à Ayrault, a-t-on avancé ?

    Ils n’ont pas trop de kérosène dans leurs idées !

     

    NOTRE DAME D’AYRAULT,

    Remballez les tréteaux !

    La lande appartient aux crapauds.

    Vinci et Airbus peuvent vivre sur leurs capitaux.

     

    JLB

    17/11/2012

     


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  • COMPETITIVITE

     

    C’était dit, c’était scié,

    dès lors, qu’à Jouy, il défilaient,

    devant la mère maquerelle des entreprises,

    Parisot les tenait à sa guise.

     

    Elle installait son bureau à Bercy,

    sur les genoux de Moscovici.

    Faisant aux bons socialos, la dictée,

    pour les entreprendre sur la compétitivité !

     

    Stratégies et politiques économiques,

    augurent pour la France, distributeurs automatiques,

    de vastes changement sociaux et climatiques,

    avec un beau trou au cul pour les finances publiques.

     

    « Faites confiance aux créateurs et investisseurs ».

    Leur rengaine, on la connaît par cœur.

    Ils se barreront avec le fric de l’Etat et des collectivités,

    et demanderont au travail encore plus de flexibilité.

     

    Horaires rallongés, salaires rabaissés,

    c’est le nouveau pacte pour Emploi, garder !

    Le commissaire Gallois a fait feu de tout bois.

    Les cotisations sociales sont remises au Patronat,

    et la Santé devra survivre par la T.V.A.

    On vous rackettera sur tous vos achats !

    C’est « un compromis historique » !

    Du Capital, le socialisme est devenu, la logistique.

     

                                                             JLB 16/11/2012


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  • t

    TELEPORTATION

     

    On s’évade comme l’on peut,

    en marchant, l’air bête, heureux.

    C’est toujours mieux qu’un bureau crasseux,

    les chemins creux, les pieds boueux…

     

    On ferme les yeux,

    loin des immeubles hideux,

    même si le ciel n’est pas bleu,

    cela rend moins grincheux.

     

    On a le cerveau brumeux,

    comme un paysage chaleureux,

    qui au petit matin, s’éveille peu à peu.

    Le reste est miteux.

     

    Miteux, comme des trains de banlieue,

    comme des métros poussiéreux.

    Le reste est caverneux,

    comme ces déambulants tuberculeux.

     

    Comme ces stressés fiévreux,

    on a mieux,

    à ne vivre que cette vie de comateux.

    Qu’ont soit des jeunes vieux.

     

    Fixés par un travail véreux,

    qui petit à petit, nous plie en deux.

    On rêve de confins faramineux,

    écrasés par la candeur des cieux.

     

    D’hommes en symbiose, avec les lieux,

    plus de jaloux, plus de chanceux,

    on voudrait rester amoureux,

    connaître les finalités du jeu.

     

    Mais l’on devient tous aïeux,

    le temps passe, d’être généreux,

    avec tous ceux qui sont nerveux,

    qui déteignent sur vous, peu à peu.

     

    Clan des sanieux et des huileux,

    la nature nous rend moins vaniteux,

    dans nos ateliers ténébreux, son doigt talentueux,

    nous fera toujours sentir ses besoins impérieux.

     

    JLB 17/11/1994

     

     

     


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  • sur le site sudecution49.org

      

    I.V.G

     

    Intentions volontaristes du gouvernement,

    Simone Veil aurait repris un maroquin.

    Ces gens s’énervent-ils par accident,

    Ou ont-ils retrouvé leurs parties en chemin ?

     

    Bien avant le TGV,

    Simone avait dépénalisé l’IVG.

    Mais il aura fallu 40 ans,

    Pour obtenir plein remboursement !

     

    Dans la France réac,

    On accouche à la matraque.

    Dans la France libérale,

    La médecine rechigne au travail.

     

    17 ans de droite,

    Et la santé se calte,

    Dans les ARS (1) et la RGPP (2).

    La loi est longue à accoucher,

    Lorsque les mœurs sont arriérées,

    Freinant aux vérités de notre société.

     

    Dans l’Hôpital exsangue,

    Tout acte n’est plus banal.

    Avec la Sécu que l’on étrangle,

    Les soins sont mis à mal.

     

    Que les droits des femmes avancent,

    A disposer de leurs corps,

    Que ce système ne rôde plus avec la mort,

    Qu’on ne ferme plus les maternités,

    Sous prétexte de rentabilité,

    Que l’on guérisse sans obligation d’assurances !

     

    Gratuité de toute la Santé !

    Hurlons-nous à la prude Assemblée.

    Il faut interrompre volontairement,

    Le pacte de la Médecine et de l’argent.

     

    JLB 30 OCT 2012

     

    Nb : (1) Agence Régionale de Santé

    (2) Révision générale des politiques publiques

     


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  • Album usine du Creusot 1881

    INDUSTRIE

     

    La pierre devint trop chère,

    s’étendre resta nécessaire.

    Des tours Eiffel horizontales,

    enfermèrent alors, le travail.

    Surtout ceux qui devaient produire.

    L’industrie avait son avenir.

    Des hommes s’y affairaient comme des bêtes,

    « gagner son pain » était leur prétexte.

    Apprentis à huit ans,

    tapant, suant, comme leurs parents.

    Un sou comme salaire,

    finissant dans la poche du père.

    Dans un monde de négritude,

    les sans grades prirent des habitudes,

    trimer pour des Rothschild,

    qui n’étaient même pas mille.

    Un monde de fumée, de crachats de sang,

    une odeur de mort s’installait pour longtemps.

    De la dure existence,

    les nerfs des fils ont souvenance.

    Les heures défilaient

    comme des colonnes de fumée,

    plus les cieux noircissaient

    et plus le travail marchait.

    Les Schneider tapaient sur leur gros ventre,

    la Bourse était riante.

    Chaque hameau avait sa cheminée,

    ses prolétaires, son gros bonnet.

    Un bistrot par maison,

    l’industrie avait besoin de boissons.

    Un peuple maigrelet, abruti par l’alcool,

    oubliait dans ses comas éthyliques de jouer ses grands rôles.

    Plus tard, il faudra payer ses excès,

    battre le fer, construire la modernité.

    Le travail n’avait pas de loi,

    le droit se faisait par le chassepot du soldat.

    Le producteur, trop souvent, était payé en plomb.

    Ainsi de la colère, naissent les vocations.

    Tandis que grandissaient toujours les empires capitalistes,

    la misère collait aux faubourgs, linceul des squelettiques.

    S’insinuant partout comme le smog,

    du Capital, l’industrie fût la drogue.

    Qu’importe les victimes de cet abîme,

    naissent les cimes, grandissent les usines,

    avant la faillite, avant la ruine.

    Tout s’exploite si on y met l’argent,

    avec des entrées dans l’ombre des gouvernements.

    D’une industrie forte, jaillissent les nations fortes,

    travaillez manants ! Vous nous ouvrez les portes !

    Disaient les patrons paternalistes,

    en consolant le père de la mort du fils,

    en construisant les cités ouvrières,

    HLM horizontaux, avec jardinet derrière,

    qu’une vie de travail, récompensaient.

    Merci patrons d’être si prêts de vos ouvriers !

    Que l’instrument de production ne s’arrête jamais,

    qu’on lise des sourires sur les faces grasses des trésoriers !

    L’usine était une institution,

    du nouveau né au moribond,

    il fallait appartenir aux patrons,

    corps et âmes, ou faire son balluchon.

    Un œil sur la cheminée, un œil sur les ouvriers,

    Voilà comment bâtir une société industrialisée.

    Mais tout cela n’a duré qu’un temps,

    le Capital fait toujours son argent,

    mais avec des complexes automatiques.

    Les grandes régions d’industrie pointent aux Assedic.

    Les cadavres des vieilles usines, les cheminées cassées en deux,

    attendent les bulldozers, vengeance des derniers vieux.

    Un monde s’engloutit,

    laissant des traces profondes dans le pays,

    dans le sol et l’air qu’on y respire,

    et ceux qui restent, n’en sont pas à leur dernier soupir.

    JLB le 11 avril 1991

     

     

    voir l'excellent site : ecomusée-creusot-montceau.fr

    Cité ouvrière à Mulhouse


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  • Sans provision 

     

    Chèques en bois,

    parce que, pas de quoi,

    nous sommes des millions

    à payer sans provision.

    Va falloir agrandir les prisons !

    Par une inique loi, comme d’habitude,

    l’Etat vise ceux qui ont la vie rude.

    Une amende en plus d’un découvert,

    voilà comment on combat la misère.

    Pris à la gorge, allez au cimetière !

    Banques et percepteurs ont déclaré la guerre.

    Rogner toujours sur les plus démunis,

    sur les salaires petits,

    sur ceux qui font marcher l’économie,

    en vivant éternellement à crédit.

    Nous avons tous des têtes de mauvais payeurs,

    mais je voudrais bien savoir qui sont les vrais voleurs ?

    Ceux qui font la vie chère, qui gaspillent les budgets,

    ou le smicard qui ferme les yeux en regardant sa paie.

    Vivre sans provision,

    pour beaucoup, c’est la condition.

    Il y a ceux qui ne font qu’un repas par jour,

    qui n’achètent pas d’habits, n’ont pas de loisirs,

    se privant pour honorer leurs factures, toujours,

    qui pensent que leurs rêvent ne vont jamais aboutir.

    Pour eux, la vie est bien sans provision,

    face aux défilés des nantis, ultime provocation.

    D’autres regardent le cortège des huissiers,

    stockant, amendes, impôts impayés, crédits, paperasses timbrées.

    Ils y mettent le feu, l’hiver, pour se chauffer.

    Qu’importe le lendemain, si aujourd’hui, c’est festin,

    car il faudra bien crever, un de ces quatre matins.

    Et pourquoi faire des provisions ?

    Pour engraisser l’Etat, la Banque, les grands patrons ?

    Même si j’étais riche, je brulerai mon pognon !

     

    JLB 6/12/1991

     


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  • ARNAKERIE

    Agenda à rallonge,

    promesses de sueur,

    sortez donc les éponges,

    la suite s’appelle rigueur.

    Et le traité d’austérité,

    legs de Sarkozy-Merkel,

    c’est ce qui nous pend au nez,

    car la crise se fait vieille.

     

    CA SENT « L’arnakerie »,

    le déni de démocratie !

     

    Mais qui nous gouverne

    dans de bruxelloises tavernes ?

    Ca alimente le cirque f.n

    en ces antidémocratiques balivernes !

    La finance et la banque,

    c’est là que les décideurs se planquent !

    c’est là qu’il faut aller les chercher,

    pour leur faire avaler les exigences de leur marché.

     

    CA SENT « L’ARNAKERIE »,

    faut nationaliser l’ECONOMIE !

     

    Un Mitterrand de seconde zone, « euro »,

    pour le progrès social, oublie son propos.

    La cinquième semaine, le 39 h, 14% au smic,

    de nos jours, les François seraient antipathiques ?

    Hollande ! Relève-toi ! Ton humour de campagne,

    masquerait donc la viduité de ton pagne ?

    Il faut sortir de ce merdier,

    le Peuple n’a pas de pacte avec l’austérité !!!

     

    Jlb 6/10/2012

     

     

    EVOLUTION/ REVOLUTION de SPRUNG AUS DEN WOLKEN sur le SITE FRANCE.ATTAC.ORG

     


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  • CLICHY 1900clichy rue palloy


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  • CHANTIER DE DOULEUR

     

    Le bal infernal des pelleteuses moqueuses,

    la danse étrange des grues vertigineuses,

    les rondes où grondent les poids lourds,

    emportant dans leurs bennes, ce qui fît nos jours.

    De la meulière, du fer, de la ferraille,

    tout cela arraché comme fétu de paille.

    Ils remuent les décombres, triturent nos entrailles,

    rasent la mémoire de notre lieu de travail.

    Les bulldozers, bêtes de l’enfer, écrasent la terre,

    dans un coin, un feu brûle, ce qui ne sera plus nécessaire.

    Quelques jours leur suffiront,

    pour enlever du sol, toutes traces de construction.

    Sur les débris de nos passés,

    nous n’avons plus qu’à pleurer.

    Ainsi cents années et combien de générations,

    tombent sous les coups à répétition ?

    Les structures tordues, les vitres éclatées,

    on n’aimerait mieux ne pas en parler.

    Un ciel blafard passe par les toitures,

    lui aussi veut témoigner de notre déchirure.

    Et le bras destructeur s’acharne,

    tout cela s’accompagne d’un intolérable vacarme.

    La poussière s’étale et nous la respirons,

    la vie de notre bâtiment investit nos poumons.

    Là sont passés nos labeurs,

    et leurs cendres viennent se placer à côté de nos cœurs.

    Ce que les chenilles aplatissent,

    c’est bien plus que des années de service.

    Il nous semble qu’en brisant cette vieille architecture,

    on laisse la place vide pour un inquiétant futur.

    La joie des promoteurs, les rictus des spéculateurs,

    arrivent déjà derrière les bleus de travail des démolisseurs.

    Du béton sans âme couvrira d’autres drames,

    on sent que dans notre dos, tout cela se trame.

    Bientôt, quand tout sera effacer,

    quand toutes les fondations auront été raclées,

    qui se souviendra de ce qu’il y eût ici,

    car les démolisseurs seront partis et nous aussi ?

    Clichy JLB

    10/12/1992

    Sur la destruction des bâtiments annexes des entrepôts du Printemps

    sis à Clichy la garenne 67/69 bd du général Leclerc

     

     

    De 1991 à 1993, une réhabilitation du bâtiment principal, devenu siège social de Prisunic, puis de la FNAC, est réalisée par les architectes Bernard Reichen et Philippe Robert. Cette transformation a entraîné la démolition de petits locaux annexes en pierres meulières, datant de la même époque: écuries, remises, et logements, sur les rues d'Alsace, Georges Courteline, et Palloy, remplacés par des bureaux construits par les mêmes architectes.
    SITE MAIRIE DE CLICHY SEMERCLY 

    •  

     

    Les Entrepôts du Printemps constituent l'une des plus belles réalisations du début du XXème siècle à Clichy, marquant l'importance de l'industrie dans le développement urbain de la ville.

     

    Au début du 20ème siècle, la Société des Grands Magasins du Printemps située à Paris est en plein développement. Elle vient, en 1905, d'édifier sur le boulevard Haussmann, le « Nouveau Printemps » dont les travaux sont terminés en 1910

     

    La Société du Printemps, ayant déjà un appentis pour le battage des tapis, décide de construire une annexe à Clichy.

    Le bâtiment est édifié en face du Parc Denain (aujourd’hui Roger Salengro), entre 1908 et 1910 par les architectes Papinot & Simonet selon les techniques nouvelles de l'ingénieur François Hennebique (1842-1921), inventeur du béton armé.

    F. Hennebique conçoit la structure en béton. Le décorateur Alexandre Bigot, céramiste très en vogue de l’Art Nouveau agence les murs extérieurs. Ce dernier collaborait avec Hector Guimard et Jules Lavirotte.

    A. Bigot décore la façade qui joue sur les structures de métal et de brique, agrémenté de céramique dessinant le nom de l'établissement sur le fronton en courbe, et de carreaux de grès flammé jaune et bleu. La travée gauche est constituée d'une arche d'une seule volée et de trois étages entièrement métalliques.

    Le tiers gauche de l'édifice, construit en 1923, tient compte du style de l'époque, et s’inscrit dans le mouvement Art Déco. L'angle droit et de béton remplace l'arc de cercle et le métal. Cet ajout est dû aux architectes Demoisson & Wybo ; ce dernier devient célèbre avec son confrère Lefranc, lors de la construction du Palace Georges V à Paris. Cet agrandissement a été construit pour abriter le matériel roulant et les chevaux.

    Conçu pour être entièrement modifiable, le bâtiment a servi successivement d’entrepôt de stockage de marchandises, d’atelier de confection et de bureaux.

     


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